Quand Claude Palmero et le club veulent mettre à sac la Principauté sous le nez du Conseil National
Le groupe se diversifie, bien que l'immobilier soit extrêmement rémunérateur mais le rêve de tout RAPETOUT est d’être maître de sa propre banque !
Voilà en avant-première pour vous monégasques, le dernier « bébé » de Claude Palmero, « La Banque Monégasque », une banque détenue par des prives choisis par « l'empereur » Palmero, tout-puissant, sélectionnés pour leur réputation docile, rassurés par la présence au capital de l'ETAT mais aussi du Prince, enfin cerise sur le gâteau, l’Etat apportera sa garantie, un rêve pour ces investisseurs, quel seigneur ce Palmero !
Et demain un outil tout trouvé pour financer les prochains projets des RAPETOUTS !
Que dire de ce projet que le Conseil National ne connait pas alors que financièrement eu égard aux risques et garanties, les finances de l'Etat peuvent être liquidés, qui connait l'histoire survenue il y a quelques décennies qui a failli tant couter à la Principauté ?
Claude Palmero, se moque du Conseil National, y donner de l'importance serait de nature à rabaisser l'empereur, comme pour l'Annonciade II, « l'empereur » Palmero veut éviter le Conseil, le contourner, il ne partage pas le pouvoir, il ne laisse que les miettes aux gueux, les RAPETOUTS ont un programme et sont plutôt pressés de le mettre en œuvre car au fond d'eux ils savent quelle fin est propre à tout RAPETOUT !